A LOmbre Des Maris Série 2 - Première Partie : Le Mariage De Ghania -1-
Quant à vous, messeigneurs, aimez à votre guise,
En ce qui me concerne, ayant un jour compris
Qu'une femme adultère est plus qu'une autre exquise,
Je cherche mon bonheur à l'ombre des maris.
(Georges Brassens : A lombre des maris)
Cette histoire a eu un prélude, il y a bien longtemps. A cette époque, je ne
connaissais aucune des trois femmes qui en sont les héroïnes : Ghania et Wissam,
nétaient pas encore nées, et Farida, ne devait pas avoir plus de dix ans. Jétais sur
le point de terminer mes études supérieures et, depuis longtemps déjà, jétais
follement amoureux de Fadhela, la sur de mon meilleur ami. Il ny avait, bien
entendu, rien dextraordinaire à cela : sauf que la fille qui disait elle aussi
maimer à la folie était tellement pressée de se marier, quelle mabandonna sans
aucune vergogne, pour épouser un quelconque quidam qui était déjà bien installé dans
la vie : il avait un travail, était dispensé du service militaire et disposait dun
logement de fonction. Tout ce que je ne pouvais avoir, quaprès au moins trois années,
le temps de passer mon service militaire et de trouver un travail. La garce (jai
aujourdhui encore beaucoup de ressentiment contre elle) nétait pas disposée à
attendre tout ce temps là. Elle disait en avoir marre de vivre avec ses parents, et
quelle voulait être libre tout de suite. Libre de vivre sa vie. Elle disait aussi que
son nouveau fiancé, laimait tellement, quelle était sûre quelle allait le mener par
le bout du nez. Et quil lui offrirait une vie de princesse.
Javais beau lui expliquer quelle faisait fausse route et que le prince charmant
quelle croyait avoir attrapé se transformera très vite en « vilain mari » (selon la
jolie formule de Claude Nougaro) ; javais beau lui crier quelle ne pouvait pas jeter
aussi facilement à la poubelle les merveilleux moments que nous avions passés ensemble
à flirter, nous embrasser, nous caresser et nous promettre un amour éternel ; elle ne
mécouta pas et se maria, le jour même de ses dix-neuf ans.
sa fête de mariage, en tant que meilleur ami de son frère et, pour garder lamitié de
son frère, qui naurait pas compris que je ne sois pas présent, jy allai après avoir
vidé quelques bouteilles de bière. Et je ne fis même pas desclandre.
Jétais seulement très malheureux et complètement détruit; et cela se voyait sur mon
visage, et parait-il ce fut la grande sur de Fadhela qui était au courant de mes
sentiments qui me le dit quelques jours après les noces à cause de larmes
involontaires qui coulaient de me mes yeux tout le long de la soirée. La suite
importe peu. Ce qui importe pour lhistoire que je vais vous raconter, cest la série
de hasards qui se télescopèrent pour mettre une forte dose de piment dans ma vie
sexuelle, bien remplie quantitativement, mais assez décevante sur le plan du bonheur
et de mon équilibre psychique. Des hasards, comme seule la vraie vie sait en produire.
Après mes études et laccomplissement de la période obligatoire de service national,
je me suis lancé corps et âme dans le travail. Un travail passionnant qui a rapidement
fait de moi un cadre dirigeant dune grande entreprise publique. Je ne tardais pas à
me marier. Avec une amie de mon Ex ! Et, autre hasard, le frère de Fadhela, qui était
resté mon meilleur ami, tomba amoureux de ma belle-sur et lépousa. Les choses en
restèrent là : chaque couple vécut sa vie comme il le put. Jeus deux s et mon
ami trois. Je divorçai au bout dune dizaine dannées (ma femme mavait surpris
entrain de la tromper) et entrepris depuis une vie trépidante de célibataire endurci.
Mon ami resta un peu plus longtemps avec sa femme et ses s, puis lui aussi finit
par divorcer (pour dautres raisons que les miennes : il avait le tort aux yeux de sa
femme et, plus tard, de ses s, de trop aimer la dive bouteille).
Jai oublié de préciser une chose importante : mon ami, ainsi donc que sa sur,
étaient de magnifiques métis : leur père était un vrai blond et leur maman, une
superbe femme noire, originaire de la région de Béchar, dans le sud-ouest algérien.
Lui était vraiment beau, grand et fort, avec une peau couleur café. Sa sur, Fadhela,
était plutôt petite, avec une couleur de peau plus métissée (café au lait), des yeux
immenses, dun noir profond et brillant de mille feux. Elle avait une ressemblance
profonde avec les indiennes (pas les amérindiennes, celles de lInde) et elle en
rajoutait une touche, en shabillant et se coiffant comme elles. Cétait
vraisemblablement, ce qui mavait tant attiré vers elle. Et ce fut aussi cette
caractéristique qui, bien des années plus tard, mavait catapulté vers sa nièce, la
plus jeune des filles de mon ami, dont la ressemblance avec sa tante, jeune, était
tout simplement ahurissante. Wissam était le sosie parfait de Fadhela, quand elle
avait son âge.
/
Voila pour les prémices de mon histoire. Cette dernière ne commença en fait que
beaucoup plus tard, quand je devins le Directeur des Ressources Humaine dune des plus
grosses entreprises du pays. Jétais déjà divorcé et vivais une vie de célibataire
dévoyé. Je navais plus, depuis mon divorce, de vie sentimentale rangée. Je
papillonnais de femme en femme, refusant obstinément de mattacher. Je choisissais
comme amante uniquement des femmes mariées, dont je savais quelles ne cherchaient
quà vivre des instants de plaisir, que, la plupart du temps, elles ne trouvaient pas
auprès de leurs maris. Avec elles, il ny avait aucun risque de me retrouver piégé,
avec une nouvelle corde au cou. Situation que je refusais catégoriquement, ayant déjà
beaucoup donné sur ce plan là.
Et puis un jour Ghania, une superbe plante qui devait avoir un peu plus de vingt ans à
lépoque, débarqua dans ma vie. En fait, je venais de la recruter pour un poste
dassistante dun de mes collègues directeur, sans même lavoir vue. Javais fait
confiance à une collaboratrice qui soccupait des recrutements et qui faisait
extrêmement bien son travail.
décision de recrutement, javais du mal, à me lever de mon fauteuil pour la saluer,
tellement jétais subjugué par sa beauté. Elle était vraiment canon : grande,
plantureuse, de magnifiques rondeurs et un air effronté qui titilla immédiatement mon
bas-ventre. Elle avait un visage très expressif. Un visage avec un petit nez bien
droit, une bouche gourmande entourée de lèvres pulpeuses, naturellement rouges et une
rangée de petites dents blanches, pointues et brillantes qui indiquaient toute son
envie de croquer la vie lumineux avec, comme figé sur ses lèvres un sourire
énigmatique, dont on ne savait pas sil était moqueur ou si cétait une invitation à
la suivre dans un monde merveilleux de plaisirs.
Je crois que je suis immédiatement tombé amoureux de cette femme. Dès le début, elle
hanta mon esprit. Dès les tous premiers moments, javais eu envie delle. Je voulais
lavoir à moi. Je voulais lui faire lamour. Elle nétait pas mariée, mais pour la
première fois depuis longtemps, je men fichais éperdument. Elle me plaisait vraiment
et je la voulais pour moi. Quel quen soit le prix ! Sauf bien entendu, la corde au
cou ! Ce fut un flop sur toute la ligne. La belle avait entendu parler de moi. Elle
connaissait ma réputation de papillon et de manque de sérieux. Et quand loccasion se
présenta dêtre seuls ensemble et que je commençai à lui faire du gringue, elle
mapprit quil nétait pas question pour elle davoir une aventure sans lendemain avec
qui que ce soit, y compris donc, avec moi.
Mais cela ne lempêcha pas, quelques jours plus tard - parce que je continuais sans
relâche de lui montrer de plus en plus clairement toute lenvie que javais delle -
de me faire comprendre que moi aussi, je lui plaisais beaucoup. Elle se mit même à
flirter avec moi, pour éteindre quelque peu le feu qui la dévorait elle aussi.
flirts qui memmenaient aux sommets de lexcitation, et de la frustration. Malgré que
souvent, il sagissait de flirts très poussés, ils étaient incapables déteindre
lénorme incendie quils allumaient en moi. Parfois, elle me faisait une belle
fellation, mais en refusant que jéjacule dans sa bouche ou même sur son visage. Quand
elle voyait lintensité de ma frustration, il lui arrivait de me masturber et de me
faire jouir avec sa main droite. Mais petit à petit, tout en continuant de me refuser
de la pénétrer (donc de la dépuceler), elle avait fini par mautoriser laccès -
dabord uniquement visuel, puis de plus en plus tactile - de sa superbe chatte. Au
bout dun certain temps - qui mavait paru avoir duré des mois elle avait fini par
mordonner de la lui bouffer.
« Koulha !», mordonnait-elle en arabe (« bouffe-la !), en sallongeant sur mon grand
bureau et en levant très haut ses jambes pour me permettre de plonger ma tête entre
ses cuisses et dentamer un cunnilingus denfer. Elle avait immédiatement adoré le
cunnilingus. A chaque fois, elle jouissait bruyamment et, dans ses divagations
verbales qui accompagnaient les mouvements de ma bouche et de ma langue sur sa chatte,
elle prenait à témoin sa maman :
- Yemma, ach-hal mlih ! Ach-hal en-heb ki yel-hass li souwti ! En-heb elsanou fi
hatchouni ! Yemma chouffi qehba enta3 bentek ! Yemma gouli-lou i nik-ni bezzebou !
(Maman, comme cest bon ! Comme cest bon quand il lèche ma chatte ! Jadore sa
langue dans mon vagin ! Maman regarde ta pute de fille ! Maman dis-lui de me niquer
avec son zob !)
Bien entendu, je naurais pas hésité une seule seconde pour profiter de son émoi
provoqué par le plaisir et la dépuceler. Mais cela métait impossible parce quà
chaque fois, elle me faisait promettre de ne jamais la dépuceler, même si elle me
suppliait de le faire. Je devais donc, à chaque fois prendre sur moi de me retenir. Et
à chaque fois, jen sortais extrêmement frustré. Pendant longtemps - en fait toute la
période où javais occupé le poste de Directeur des ressources humaines de
lentreprise et quelle avait été mon assistante - Ghania ne semblait pas avoir eu des
remords, de me mettre dans un état dexcitation. Je me faisais souvent la réflexion
que cette fille était un monstre dégoïsme. Elle prenait beaucoup de plaisir quand je
lui appliquai des cunnilingus. Elle le criait. Et souvent, pour me remercier pour les
orgasmes successifs quelle avait grâce à ma bouche, elle me donnait un très long
baiser, au cours duquel elle avalait en plus de ma salive les sécrétions vaginales
que javais encore en bouche. Et elle menvoyait un superbe sourire qui me disait à
quel point, elle avait aimé. Longtemps, « ma récompense » sétait arrêtée à ces
baisers.
Et puis, quand, javais été nommé Directeur général de lentreprise et que je lavais
emmené avec moi, nous sommes passés à une nouvelle étape. Cela faisait environ une
année que nous nous fréquentions. Nous venions de prendre possession de nos nouveaux
bureaux. Un matin, elle pénétra dans le mien et me dit tout de go, quelle voulait
sentir la force et la douceur de mon zob, sur sa chatte. Je crus quelle avait enfin
décidée de soffrir à moi sans retenue. Et bien non ! Elle voulait seulement que je
lui caresse la chatte avec ma queue. Mais elle ne la laissa sapprocher de son
entrecuisse, quaprès mavoir fait promettre de ne pas en profiter pour la « casser »,
(« Balak et-kessarni ! » - « Attention à ne pas me dépuceler ! »). Elle était
consciente quà ce moment-là, elle dépendait totalement de ma bonne volonté et quelle
navait aucun moyen de se défendre. Et, moi, obéissant à sa volonté, je faisais aller
et venir le long de la fente de ses grandes lèvres le gland tuméfié de ma queue, en le
faisant de temps en temps pénétrer dans lentrée de son vagin et en lui titillant son
petit clito dur et superbement sensible. Elle gigotait de plaisir, tout en se retenant
de faire des mouvements brusques qui auraient pu aboutir à la catastrophe quelle
redoutait tant. Ces parties de « pinceau » la faisaient jouir intensément, tout en
créant en moi une frustration indescriptible.
/
Et je ne me gênais pas pour le lui dire, pensant que comme cela, jallais peut-être la
culpabiliser et la pousser à soffrir totalement à moi. Cétait peine perdue. Elle
tenait à sa virginité. Et elle la garda pendant toute cette période ; elle ne me
loffrit jamais. Comme elle lavait annoncé elle ne loffrit quà celui qui devin son
mari. Je me suis rendu compte, quen fait, elle nétait pas aussi égoïste que je le
croyais. Elle était consciente de toute ma frustration de ne pas pouvoir prendre avec
elle tout le plaisir qui métait dû et avait longtemps cherché la solution qui nous
conviendrait à tous les deux. Cette solution - plutôt bizarre, il faut bien en
convenir - elle la trouva au moment où elle vint prendre son poste dassistante du
directeur général, cest-à-dire moi. Le bureau du secrétariat quelle devait occuper,
était déjà occupé par Soraya, lassistante de lancien directeur général.
Soraya était une femme, dune cinquantaine dannées, mère de trois s. Elle
était assez jolie, et surtout elle avait une superbe croupe de pouliche qui faisait
fantasmer tous les mâles quelle rencontrait. A cinquante ans, tout en elle était
encore très ferme, y compris ses seins qui pointaient tels des obus sous ses éternels
tee-shirts en coton blanc. Son visage, aux traits un peu ingrat, débordait de
sensualité. Tous les hommes qui la croisaient navaient en tête quune seule idée,
même si elle était furtive et ne sexprimait presque jamais, cétait de la tirer à la
hussarde. Elle avait, il y avait quelques années déjà, été épisodiquement ma
maîtresse. En fait elle ne sétait offerte à moi, que parce quelle voulait se venger
de son mari, dont elle venait dapprendre linfidélité.
Et Ghania qui avait eu vent de mon aventure passée avec Soraya, mavait demandé de la
garder à la direction générale, en doublure avec elle. Je crois même quelle avait
passé un accord avec elle, pour assurer la permanence du secrétariat, pendant que
quelle batifolait avec moi. Les deux femmes sappréciaient mutuellement et Ghania
avait rapidement compris que sa collègue était toujours partante pour avoir des
relations sexuelles avec moi. Elle avait repris avec son mari, qui lui avait juré une
fidélité éternelle, après quelle lait malmené pendant deux mois, mais elle avait
affirmé à Ghania quelle gardé un souvenir impérissable de nos ébats. Elle lui avoua
quelle avait pris, pendant les deux mois que dura notre relation, plus de plaisir que
durant toute la période de son mariage.
Et ce fut comme cela quune relation bizarre sinstalla entre nous trois. Ghania,
avait convaincu Soraya de me partager avec elle. A condition quelle ne fasse rien
pour me prendre à elle. Elle savait que sa collègue était un super coup au lit et que
surtout, elle navait pas de problème de virginité et dhymen à garder intact. Ghania
continua donc presque quotidiennement - ses flirts poussés. Des flirts qui lui
procuraient chaque fois des orgasmes intenses. Quand elle se sentait rassasié et
surtout fourbue jusquaux os (elle finissait toujours sur les rotules, après nos
ébats) elle appelait Soraya pour quelle « me termine ».
Et Soraya, me « terminait » en soffrant à moi avec passion, pendant que Ghania
prenait sa place au secrétariat. Tout ce temps là, je me conduisis avec elle en
véritable goujat. Je ne cherchais que mon plaisir et la tirais sans aucune précaution.
En fait, je me vengeais de la frustration que me laissaient mes ébats inachevés avec
Ghania en brutalisant Soraya. A aucun moment, elle ne sen plaignit. Je crois même que
ma façon de la tirer sans aucune trace de douceur ou de tendresse lui procurait
autant de plaisir quà moi. Elle sefforçait de ne pas trop manifester le plaisir
quelle prenait par des cris ou des paroles parce que la présence de Ghania dans
le bureau à côté la gênait un peu. Mais les longs gémissements rauques quelle
narrivait pas à réprimer, la salive qui coulait à flot de sa bouche, sa tête qui
dodelinait dans tous les sens et sa chatte qui ruisselait a comme une fontaine,
disaient combien elle était heureuse dêtre la victime consentante de mes furieux
coups de reins.
Soraya était vraiment une bonne pâte. Elle acceptait absolument tout ce que jexigeais
delle. Les furieuses fellations qui faisaient pénétrer mon manche jusquau delà de sa
gorge, qui étaient pour elle de véritables séances de et qui lobligeaient à
avaler des quantités immenses de sperme (ce quelle naimait pas). Jadorais aussi
lenculer en force en la faisant sadiquement hurler de douleur (en dehors de moi,
personne ne lavait jamais enculée auparavant ; ni son mari, ni même un amant furtif
quelle avait eu, quelques mois auparavant). Je crois quau cours de cette année que
nous avions vécu à trois dans mon bureau, elle avait fini par devenir accro à ma
manière brutale de la sodomiser.
Jaimais aussi pilonner sa superbe chatte. Une chatte qui avait un aspect différent de
celle de Ghania. Elle avait des grandes lèvres plus fines qui laissaient déborder ses
petites lèvres cramoisies, toujours brillantes dhumidité. Mais cétait surtout la
toison noire régulièrement taillée - quelle gardait sur son pubis bombé qui donnait
à lensemble une sensualité torride. Pendant cette période, javais baisé Soraya dans
toutes les positions et par tous ses trous. Je faisais avec elle tout ce que je rêvais
de faire avec la sublime Ghania. Quand nous terminons, jactionnais louverture
automatique de la porte capitonnée de mon bureau pour signifier à mon assistante de
venir nous rejoindre. Elle entrait dans le bureau, avec un air un peu triste, comme si
elle nacceptait la chose quà contrecur et quelle men voulait un peu de prendre
autant de plaisir avec une autre femme.
Mais elle ne laissait rien paraître et venait se blottir dans mes bras, en regardant
Soraya du coin de lil, pendant quelle se rhabillait et repartait reprendre son
poste dans le bureau dà côté. A aucun moment, Soraya ne sest plainte dêtre
maltraitée et de ne servir que de bouche-trou (cest le cas de le dire !). A aucun
moment je navais senti quelle men voulait dêtre traitée comme une amante par
défaut. Au contraire, elle mavait toujours semblé contente de son sort. Elle mavoua
même, quelques mois plus tard, quand Ghania se maria et nous laissa seuls, quelle
était vraiment heureuse dêtre devenue ma maîtresse, même si ce nétait « quun
remplacement ». Elle me dit que cétait avec moi quelle avait appris ce que cétait
que le plaisir de soffrir à un homme et de subir ses assauts, même sils étaient
brutaux. Elle avait adoré, et adore toujours, la puissance de mon manche et sa
capacité à la faire jouir intensément. Elle voudrait tant que nos relations durent le
plus longtemps possible.
/
Pour des raisons liées aux tabous sociaux, Ghania avait décidée de rester vierge
jusquà sa nuit de noces. Elle devait, mavait elle répété des dizaines de fois,
garder son hymen intact pour celui qui sera son mari. Elle avait des parents très
rigoristes qui naccepteraient jamais le scandale de leur fille arrivant au mariage,
déflorée. De par léducation quelle avait reçue mais aussi par peur du scande, elle
avait pris la décision de garder intact son hymen et de ne loffrir quà son mari.
Mais, ajoutait-elle, cétait tout ce quil recevra delle. Parce quune fois mariée
et débarrassée de son hymen il ne dépendra plus que de moi de devenir le maître
absolu de son corps ; et de son âme. Elle mavait répété des dizaines de fois quelle
naimait que moi et quelle ne voulait faire lamour le vrai quavec moi. Elle
disait que tous les flirts quelle avait eus avec moi, lavaient mise dans un tel état
dattente, quil lui fallait tôt ou tard devenir lesclave de mon bel engin. Il était
vrai que chaque fois quelle était en présence de ma queue, elle avait les yeux qui
brillaient de désir et tout le corps qui tremblait. Je nai toujours pas compris doù
elle puisait la force de résister, malgré le désir violent quelle avait de soffrir à
moi et de jouir comme une chienne sous les coups de boutoir de mon engin. Parfois,
elle me lavouait avec les mots crus qui sortaient de sa bouche et quelle narrivait
pas à retenir.
- Ach-hal bghit et-dekhel-hou-li ! Ach-hal bghit et-nik-ni ! Ach-hal en-heb
zebbek ! (Comme jai envie que tu me pénètres ! Comme jai envie que tu me niques !
Combien jadore ton zob !)
Et puis un matin, au moment même où jarrivais au bureau, elle vint mannoncer quelle
avait trouvé celui qui allait devenir son mari. Elle lavait rencontré dans la
bijouterie quil gérait pour le compte de sa famille alors quelle accompagnait une
amie qui venait de se fiancer et qui prospectait pour choisir les bijoux quelle
allait se faire offrir pour son mariage. Il la trouva tellement belle et sympathique
quil samouracha immédiatement delle. Elle me dit quil était encore très jeune
le même âge quelle et quil était assez bien de sa personne. Cétait le mari «
idéal » quelle attendait. Elle était sûre quelle allait pouvoir le « dresser » et
faire de lui un vrai toutou. Elle avait confiance en son immense pouvoir de séduction.
Lessentiel, disait-elle, cétait quils vivraient seuls dans leur propre maison, loin
des parents du garçon. Le reste, elle sen chargeait.
Même si jattendais cette nouvelle depuis longtemps, je la reçus avec un très fort
pincement au cur. Presque de la même manière que je reçus celle de Fadhela, mon amour
de jeunesse, mannonçant son mariage. Mais comme elle se fit toute coquine,
accompagnant ses paroles par des petits baisers très tendres et surtout quelle me
promettait de soffrir à moi - sans retenue aucune - juste après son retour de voyage
de noces, je me calmai un peu et me mis à attendre impatiemment et le jour du mariage,
et le voyage de noces et, surtout, son retour au travail. Il se passa environ trois
mois entre le moment où elle mannonça le nouvelle et celle où elle reprit son travail
à mes côtés (Le temps me parut très long, mais en réalité, elle avait réussi un
véritable exploit, en faisant aussi vite, pour préparer et réaliser son mariage.)
/
Elle reprit le travail le lendemain même de son retour de voyage de noces. Cétait
comme si elle était aussi impatiente que moi de me revoir. Je la trouvai assise à son
bureau, à côté de Soraya, sa collègue et son amie, qui avait été actrice et complice
de nos séances de flirts pré-mariage. Pendant tout le mois où Ghania était absente
pour cause de mariage et de voyage de noces, Soraya, avait continué de combler le
vide, en soffrant à moi sans aucune retenue. Je crois même quelle avait été vraiment
heureuse dêtre devenue mon unique maîtresse tout ce temps là. Elle riait énormément
et avait les yeux qui pétillaient de plaisir chaque fois quelle était avec moi. Je ne
savais pas trop comment Ghania allait prendre la chose, mais au fond de moi javais
pris la décision de garder Soraya comme maîtresse ; et pas seulement comme maîtresse
de remplacement. Une co-maîtresse pour ainsi dire. Et quand je lui fis part de ma
décision, Ghania, laccepta sans rechigner. Cétait peut-être une manière pour elle de
remercier son amie davoir accepté ce quaucune autre femme naurait accepté : être
une maîtresse de remplacement.
Pendant un long moment, je contemplais Ghania assise à son bureau. Elle navait pas
encore remarqué ma présence, tant elle était entrée dans une discussion très animée
avec son amie (elle devait lui raconter son voyage de noces ; ou bien elle se faisait
faire le compte-rendu des évènements qui sétaient passés pendant son absence ; ou
bien encore, elles parlaient de moi.) Je trouvais Ghania encore plus belle quil y a
un mois. Elle me paraissait plus épanouie. Jeus un fort pincement au cur, en me
disant que cétait grâce à son mari quelle était aussi belle et épanouie. Jalousie
quand tu nous tiens ! Et puis, comme si elle avait senti ma présence, elle leva la
tête et menvoya son plus splendide sourire ; celui qui mindiqua tout le bonheur
quelle avait de me retrouver. Elle gicla littéralement de son bureau et vint se jeter
dans mes bras. Cétait comme si un énorme tsunami de bonheur venait de mensevelir.
Javais le cur qui battait la chamade et les jambes flageolantes. Javais même eu
très peur de ne pas réussir à rester debout, tellement tout mon corps tremblait. Elle
ne disait rien et se contentait de se serrer contre moi de plus en plus fort, comme si
elle cherchait à faire pénétrer tout son corps dans le mien. Et puis, sans se soucier
de la présence de Soraya, elle leva son visage vers moi et moffrit le plus torride
des baisers. Un baiser qui nous emmena elle et moi au bord de l, mais que
nous ne voulions pas arrêter, tant il était empli de passion. Ce baiser me fit
comprendre que cette femme était vraiment amoureuse de moi. Que ce nétait pas
seulement lappel du sexe qui lanimait.
/
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!